Dans le cadre de leurs activités, les agriculteurs utilisent des films d’ensilage performants, qui leur permettent d’obtenir du fourrage de qualité. Les films d’ensilage disponibles actuellement sur le marché offrent une bonne résistance. De plus, pour minimiser l’impact environnemental de vos activités agricole, vous avez la possibilité d’utiliser des modèles recyclables. Afin de produire un fourrage d’hiver de qualité supérieure, il est nécessaire d’utiliser des films d’ensilage performants. Si vous hésitez dans vos choix, les professionnels de la filière vous accompagnent dans vos choix et vous conseillent des solutions adaptées par rapport à votre projet. Pourquoi choisir les solutions écologiques ? Selon la nature de vos projets, vous pouvez choisir des films d’ensilage écologiques de différents niveaux d’épaisseur. Ils peuvent être utilisés pour fabriquer des sacs de poubelle, des clôtures ou divers produits paysagers. A travers le recyclage, vous pouvez minimiser l’impact de vos activités agricoles sur l’environnement. Grâce aux technologies de dernière génération et aux polymères, vous avez la possibilité d’acheter des films da faible épaisseur, mais qui offrent des belles performances. Leur impact sur l’environnement est réduit par rapport aux modèles traditionnels, qui sont plus épais. Solutions pour un fourrage de haute qualité Les experts de l’agriculture vous conseillent de choisir des films d’ensilage recyclables, qui ne sont pas très épais. Vous pouvez les utiliser pour enrubanner efficacement vos balles tout en minimisant l’impact environnemental de vos activités. De nombreux fabricants français collaborent avec des entreprises agricoles locales afin de créer des produits performants ayant des propriétés recyclables. Ces produits peuvent être revalorisés facilement pour réaliser du mobilier de jardin ou encore du mobilier urbain. Dans certains cas, le plastique recyclé peut être transformé en carburant. Combustibles latents, les plastiques peuvent être transformés en énergie. Les experts de Trioplast-agri.fr vous mettent à disposition des films d’ensilage à empreinte environnementale réduite. Les modèles qu’ils vous proposent sont disponibles à des prix accessibles à tous les budgets. Après avoir réalisé des études approfondies dans ce domaine, les experts du département de recherche et développement de Trioplast Agri ont réussi à créer des produits durables, qui respectent les normes de l’environnement. Pour tout renseignement complémentaire au sujet des solutions, rendez-vous sur le site Trioplast-agri.fr.

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Le carbone est une mesure indispensable pour comprendre la consommation et l’impact sur l’environnement. Il est important de comprendre comment le carbone peut être calculé et comment il peut être réduit. Cet article explorera les différents facteurs qui entrent en jeu et leurs implications sur le carbone. Qu’est-ce que le carbone ? Le carbone est un gaz à effet de serre qui contribue au réchauffement climatique. C’est le principal gaz à effet de serre et le plus abondant dans l’atmosphère. Les principales sources de carbone sont les combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz naturel) et les activités humaines (transport, agriculture, produits chimiques). Qu’est-ce que l’empreinte carbone ? L’empreinte carbone est une mesure de la quantité de carbone que chaque personne ou entreprise produit ou émet dans l’atmosphère. C’est une mesure de l’impact que l’on a sur l’environnement en termes de consommation d’énergie, de transport et de produits. Comment calculer l’empreinte carbone ? Pour calculer votre propre empreinte carbone, vous pouvez utiliser un outil en ligne gratuit tel que l’outil d’empreinte carbone de l’ADEME. Vous pouvez également calculer l’empreinte carbone d’une entreprise en utilisant un outil comme le Bilan Carbone. Ces outils vous aident à comprendre l’impact que votre mode de vie et votre consommation ont sur l’environnement. Comment réduire son empreinte carbone ? Il existe de nombreuses façons de réduire son empreinte carbone. Les principales méthodes sont de : réduire sa consommation d’énergie en utilisant des sources d’énergie renouvelables et des appareils plus économes en énergie; réduire sa consommation de produits et de matières premières en faisant des choix plus écologiques; réduire les émissions de gaz à effet de serre en utilisant des moyens de transport plus écologiques et des produits moins polluants; réduire les émissions de gaz à effet de serre en évitant les sources de pollution et en réduisant les sources de gaz à effet de serre. En réduisant sa consommation et en prenant des mesures pour réduire son impact sur l’environnement, il est possible de réduire considérablement son empreinte carbone et son bilan carbone et ainsi contribuer à la transition écologique. Conclusion Le carbone est une mesure importante pour comprendre l’impact de notre consommation sur l’environnement. Il est important de comprendre comment calculer l’empreinte carbone et comment la réduire. Il existe de nombreuses façons de réduire son empreinte carbone et son bilan carbone, et chacun peut y contribuer en prenant des mesures pour réduire sa consommation et son impact sur l’environnement.

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L’empreinte carbone est une mesure de la quantité de gaz à effet de serre émis par une personne, une entreprise, un pays ou une région à un certain moment. Elle est exprimée en tonnes de dioxyde de carbone (CO2) équivalent. Ce sont ces gaz à effet de serre qui contribuent au réchauffement climatique. Afin de réduire leurs émissions, il est important de connaître qui produit le plus de carbone. Dans cet article, nous allons examiner les données des émissions de carbone à l’échelle mondiale, en particulier celles des pays les plus producteurs de carbone et de la France. Les pays les plus producteurs de carbone Selon le dernier rapport sur les émissions de carbone des Nations Unies, la Chine est le plus grand émetteur de gaz à effet de serre, avec un total de 11,3 milliards de tonnes de CO2 équivalent en 2017. Les États-Unis sont le deuxième plus grand émetteur mondial, avec une émission totale de 5,5 milliards de tonnes. Le troisième plus grand émetteur est l’Inde, avec 2,4 milliards de tonnes. Les autres pays les plus producteurs de carbone sont le Brésil, la Russie et le Japon. Comment la France se classe-t-elle parmi les plus grands émetteurs ? La France se classe comme le septième plus grand émetteur mondial, avec une émission totale de 476 millions de tonnes de CO2 en 2017. Cela représente environ 4% des émissions mondiales. La France est également le deuxième plus gros producteur d’énergie électrique à partir de combustibles fossiles, avec une part de 11% dans les émissions mondiales. Quelle est la contribution de la France aux émissions de carbone par habitant ? En 2017, la France a émis en moyenne 6,8 tonnes de gaz à effet de serre par habitant, ce qui est inférieur à la moyenne de l’Union européenne (7,3 tonnes par habitant). Cependant, c’est encore plus élevé que la moyenne mondiale, qui est de 4,9 tonnes par habitant. La France est donc l’un des plus gros producteurs d’émissions de carbone par habitant. Quels sont les principaux contributeurs au changement climatique ? Les principaux contributeurs au changement climatique sont les émissions directes (de la combustion des combustibles fossiles) et indirectes (des activités humaines qui produisent des gaz à effet de serre, comme la déforestation). La Chine est le plus grand émetteur de gaz à effet de serre, avec 11,3 milliards de tonnes de CO2 équivalent en 2017. Les États-Unis sont le deuxième plus gros émetteur, avec 5,5 milliards de tonnes, suivis de l’Inde, du Brésil, de la Russie et du Japon. La France est l’un des plus gros producteurs de carbone par habitant, avec 6,8 tonnes par habitant. Quelles sont les conséquences du changement climatique ? Le changement climatique a des conséquences majeures pour l’environnement et la société. Les conséquences sont déjà visibles sous forme de températures plus chaudes, de précipitations plus intenses, de sécheresses plus longues et de fortes vagues de chaleur. Les conséquences sont susceptibles de s’aggraver à l’avenir et d’affecter la santé, la sécurité alimentaire, l’eau, l’agriculture et

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Un accord passé en 2019 entre l’Etat et les acteurs de la filière auto (constructeurs, garages, industriels) a donné lieu à la création d’un dispositif de collecte et traitement à destination des agriculteurs qui souhaitent se débarrasser des vieux pneus disposés sur les bâches d’ensilage afin de les fixer au sol. Le pneu, outil de maintien de la bâche d’ensilage Le bon vieux pneu n’est plus franchement en odeur de sainteté dans les exploitations agricoles : pendant des décennies, il a fait office d’équipement de première main pour les éleveurs qui cherchaient une solution bon marché pour lester leur bâche d’ensilage sur leur fourrage. En 2006, une étude de l’Ademe avait estimé leur volume dans l’ensemble des fermes françaises à quelque 900 000 tonnes. Or l’impact sanitaire de ces matériels composés de gomme de caoutchouc, de substances chimiques et d’armature métalliques, surtout chez les bovins qui en ingèrent les débris lorsqu’ils broutent le foin, ont été mis en évidence par les milieux scientifiques et les défenseurs de la cause animale. Un constat qui a conduit l’État à réagir en 2019, date à laquelle un accord passé entre le ministère de la Transition écologique et solidaire, celui de l’agriculture et de l’alimentation, et les différents acteurs de la filière pneumatique a été signé : il prévoyait notamment la mise en place d’un système de collecte et de traitement, géré par une société baptisée Ensivalor, pour permettre aux agriculteurs de se débarrasser à moindre coût de ces pneus usagés et les rediriger vers un centre de revalorisation. Dans les faits, ces exploitants ont, encore aujourd’hui, toujours le droit de recourir à ces équipements pour stabiliser leur bâche d’ensilage mais la loi leur interdit en revanche d’en acquérir de nouveaux, et ce depuis plus de six ans (voir décret n° 2015-1003 du 18 août 2015). Quelles alternatives au pneu ? En vertu de l’« Accord volontaire de la filière pneumatique pour une économie circulaire et la réduction des impacts environnementaux », les fabricants, distributeurs et réparateurs de pneus, auprès desquels les agriculteurs avaient l’habitude de s’approvisionner, ont annoncé vouloir en collecter une quantité annuelle de 15 000 tonnes maximum, soit environ 2,3 millions d’unités en stock. Dans un premier temps, seuls étaient concernés par cette procédure « les exploitants qui cessent leur activité », puis « ceux qui s’étaient engagé à remplacer ces pneus par l’une des techniques validées » par l’Ademe. Parmi ces nouveaux procédés, l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie avait plus particulièrement préconisé l’utilisation de « sacs à silo en forme de boudin » pour recouvrir les bâches de 150 µm. Elle avait aussi recommandé le recours à des tapis de caoutchouc, des filets de protection consolidés par des sacs à silo, une géomembrane « collée contre le silo », ou encore un géotextile. Fin 2019, l’association Robin des Bois, signataire de l’accord conclu en juillet de cette même année, avait estimé entre 400 000 et 600 000 tonnes le volume de déchets pneumatiques au sein des

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La plasticulture végétale vous permet de réduire non seulement l’utilisation de fertilisants et d’intrants, mais également de mieux maîtrise la consommation d’eau. Les films en plastique écologiques sont actuellement utilisés par les agriculteurs partout en France pour améliorer la qualité des récoltes et des activités agricoles. Les agriculteurs cherchent en permanence des solutions efficaces pour améliorer leur production. A cet effet, la plasticulture végétale permet de réduire considérablement l’impact environnemental des activités agricoles. Les professionnels de la filière peuvent vous recommander des films de qualité pour différentes types de fermes agricoles. Le contrôle des conditions climatiques Les agriculteurs sont conseillés d’utiliser des films écologiques pour mieux contrôler les conditions climatiques et obtenir les meilleures récoltes. A cet effet, la plasticulture vous permet de maîtriser les paramètres de votre production agricole. Elle agit par bio mimétisme sur les céréales et les autres plantes que vous cultivez dans vos serres et sur vos terrains. En choisissant d’utiliser des films en plastique biodégradable, vous avez la possibilité d’améliorer la qualité des produits récoltés ainsi que de diminuer le taux de déchets. Les professionnels qualifiés de la filière peuvent vous conseiller des solutions sur mesure. Comment améliorer le rendement de votre ferme ? Aujourd’hui, la plasticulture végétale joue un rôle essentiel dans l’agriculture. Les films en plastique sont fréquemment utilisés par les agriculteurs non seulement pour améliorer le taux de germination, mais également pour assurer une levée accélérée. Ils facilitent le développement végétatif et racinaire des plantes et diminuent le taux de déchet. En outre, ils réduisent l’effet « splash » qui conduit dans certains cas à la prolifération des bactéries et des champignons. La croissance est, par conséquent, plus homogène et plus régulière. Cette méthode vous permet de réduire la consommation d’intrants, de fertilisants et d’eau. Grâce à ces solutions performantes, il est possible de protéger la structure des sols et d’éviter la contamination des nappes phréatiques. Les experts de Trioplast-agri vous proposent des films de qualité supérieure pour que vous réussissiez à développer votre production de céréales et de légumes. En fonction de vos besoins, ils vous mettent à disposition des produits spécialement conçus pour la culture de maïs et d’autres plantes. Le contractowrap, par exemple, vous permet de réduire l’impact sur l’environnement et d’augmenter votre efficacité. Le contractowrap est très facile à poser sur la machine. Afin de découvrir plus en détail leurs produits incontournables pour cet automne, vous êtes invités à naviguer sur le site Trioplast-agri.fr.

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Le 4 novembre dernier, le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Folla a organisé une conférence de presse pour faire découvrir au grand public les dispositions les plus récentes au sujet du plan Ecophyto 2. Il s’agit d’un plan ayant pour objectif de réduire la commercialisation de phytosanitaires, qui aura un impact décisif dans plusieurs secteurs d’activité, tels que l’agriculture ou la dératisation.

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Le ministre de l’Agriculture vient d’annoncer les dernières exigences qui visent les apiculteurs et leur métier. En plus de la réorganisation de la production d’essaims, le ministre s’est déclaré en faveur de la création du label « Miel de France ». Il envisage aussi la création d’un certificat de compétence pour les personnes qui travaillent dans le domaine de l’apiculture.

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