L’écologie et les possibilités de réaliser des économies d’électricité sont devenus des véritables enjeux dans les locaux des entreprises. Les professionnels sont de plus en plus incités à maîtriser les consommations d’énergie des ordinateurs, des imprimantes et du système d’éclairage. On peut désormais ajouter à la liste la conception de sites web écologiques.

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EDF Énergies Nouvelles, le développement durable fait recette. La filiale spécialisée dans les énergies renouvelables et détenue à 50% par EDF vient de publier ses résultats semestriels. Les six premiers mois de l’année lui auront notamment permis de faire progresser son chiffre d’affaires de 33,7%. Le cours de son action a grimpé de +41,8%. Preuves, s’il en fallait, de l’intérêt que suscite le développement durable et les énergies renouvelables.  

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Le bilan carbone est un outil de mesure de l’impact de l’activité humaine sur l’environnement et le climat. Il permet de quantifier les émissions de gaz à effet de serre et les consommations d’énergie des entreprises, des produits et des modes de vie. Mais comment fonctionne-t-il ? Quel est son impact sur les entreprises et sur l’environnement ? Cet article vous explique tout ce qu’il faut savoir sur le bilan carbone. Qu’est-ce que le bilan carbone ? Le bilan carbone est un indicateur qui permet d’évaluer l’impact environnemental d’une activité humaine. Il est calculé en mesurant la quantité de gaz à effet de serre produite par cette activité. Il peut s’agir d’une entreprise, d’un produit ou d’un mode de vie. Plus précisément, il prend en compte les émissions directes de dioxyde de carbone (CO2) et les émissions indirectes liées à l’utilisation de combustibles fossiles. Comment le bilan carbone est-il calculé ? Le calcul du bilan carbone se fait en comptabilisant toutes les émissions de gaz à effet de serre produites par l’activité humaine. Ces émissions sont ensuite converties en tonnes équivalent carbone (tCO2e) pour faciliter le calcul. Une fois le bilan calculé, il est confronté aux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre de la France et de l’Europe. Enfin, un plan d’action est mis en place pour atteindre ces objectifs. Quel est l’impact du bilan carbone ? Le bilan carbone est un outil important pour aider les entreprises à réduire leur empreinte carbone et à atteindre les objectifs fixés par l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie). En effet, en connaissant leur empreinte carbone, les entreprises peuvent prendre des mesures pour réduire leur impact sur l’environnement et le climat. Par exemple, elles peuvent utiliser des sources d’énergie renouvelables, réduire leur consommation d’énergie et de carburant et réduire leur gaspillage alimentaire. Quel est le rôle de la France dans la transition écologique ? La France est à l’avant-garde de la transition écologique et a fixé des objectifs ambitieux pour réduire son empreinte carbone et ses émissions de gaz à effet de serre. Le bilan carbone est un outil important pour atteindre ces objectifs. En effet, il permet aux entreprises et aux citoyens de prendre conscience de leur empreinte carbone et de mettre en place des mesures pour la réduire. Conclusion Le bilan carbone est un outil de mesure de l’empreinte carbone des entreprises et des modes de vie. Il permet de quantifier les émissions de gaz à effet de serre et les consommations d’énergie. Il est un outil important pour aider les entreprises à réduire leur empreinte carbone et à atteindre les objectifs ambitieux fixés par la France et l’Europe dans le cadre de la transition écologique.

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Les bilans GES (gaz à effet de serre) et carbone sont deux outils différents qui permettent aux entreprises de mesurer et de suivre leurs émissions et leurs impacts sur l’environnement. Bien que les deux outils requièrent une mesure des émissions de GES, ils peuvent être appliqués à des situations différentes et ont des objectifs différents. Qu’est-ce qu’un bilan GES ? Un bilan GES (Gaz à Effet de Serre) est un outil qui permet aux entreprises de mesurer leurs émissions de GES dans un cadre réglementaire. Il est généralement utilisé pour répondre aux exigences réglementaires, telles que les obligations de reporting des émissions de GES imposées par l’Union européenne ou des réglementations nationales. Les entreprises peuvent être tenues de réaliser des bilans GES pour un ou plusieurs scopes d’émissions, selon le type d’activité (par exemple, la production de biens ou de services) et la taille de l’entreprise. Les bilans GES sont généralement réalisés sur une base annuelle et doivent être réalisés conformément aux principes de la méthodologie du BE-GES (Bilan des Émissions de Gaz à Effet de Serre), qui est définie par l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie). Cette méthodologie définit les facteurs d’émissions et les méthodologies de calcul à utiliser. Les bilans GES ne sont pas un outil de planification des émissions mais un outil de reporting et de mesure des émissions. Qu’est-ce qu’un bilan carbone ? Un bilan carbone est un outil qui permet aux entreprises de mesurer et de suivre leurs émissions et leurs impacts sur l’environnement. Contrairement aux bilans GES, les bilans carbone ne sont pas réglementés et peuvent être réalisés à des fins de planification stratégique, de prise de décision ou de communication. Les bilans carbone peuvent être réalisés pour un ou plusieurs scopes d’émissions, en fonction des objectifs de l’entreprise et des activités spécifiques qu’elle souhaite mesurer et suivre. Les bilans carbone peuvent inclure des émissions directes (telles que les émissions provenant des sites industriels) et des émissions indirectes (telles que les émissions liées aux consommateurs et aux fournisseurs). Les bilans carbone peuvent être réalisés sur une base annuelle ou plus longue, selon les objectifs de l’entreprise. Les bilans carbone peuvent également être réalisés pour l’empreinte carbone de la chaîne de valeur, le cycle de vie des produits et les impacts environnementaux et sociaux. Les bilans carbone peuvent aider les entreprises à identifier des opportunités de réduction des émissions et à mettre en place des plans et des objectifs pour la réduction des émissions. Quelle est la différence entre un bilan GES et un bilan carbone ? Bien que les deux outils requièrent une mesure des émissions de GES, ils peuvent être appliqués à des situations différentes et ont des objectifs différents. Les bilans GES sont des outils réglementés qui permettent aux entreprises de mesurer leurs émissions de GES conformément aux principes de la méthodologie du BE-GES. Les bilans GES sont généralement réalisés sur une base annuelle et sont utilisés pour répondre aux exigences réglementaires. Les bilans carbone sont des outils

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Le bilan carbone est un outil primordial pour les entreprises qui veulent mesurer leurs émissions de gaz à effet de serre et élaborer des plans pour les réduire. Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises ont compris l’importance de réduire leur empreinte carbone et s’engagent à réaliser un bilan carbone. Mais quelles entreprises doivent faire un bilan carbone ? Qu’est-ce qu’un bilan carbone ? Un bilan carbone est un outil qui permet aux entreprises de mesurer et de comprendre leurs émissions de gaz à effet de serre (GES). Il est calculé en mesurant les émissions directes et indirectes, leur répartition par source et leurs impacts sur l’environnement. Cette mesure est réalisée par l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) et sert de base pour élaborer des plans de réduction de ces émissions. Pourquoi est-il important de faire un bilan carbone ? Réaliser un bilan carbone est important pour les entreprises car il leur permet de mieux comprendre leurs émissions de gaz à effet de serre et d’élaborer des plans pour les réduire. Il leur permet également de se conformer aux réglementations en matière de lutte contre le changement climatique et de respecter leurs engagements en faveur de la transition écologique. Les entreprises qui réalisent un bilan carbone peuvent également se faire remarquer en montrant aux salariés, clients et partenaires qu’elles sont conscientes des enjeux environnementaux et qu’elles s’engagent à réduire leurs émissions. Qui doit faire un bilan carbone ? En France, les entreprises qui doivent réaliser un bilan carbone sont celles qui ont plus de 500 salariés et qui réalisent plus de 50 millions d’euros de chiffre d’affaires. Les entreprises qui répondent à ces critères sont tenues de réaliser un bilan carbone et de le publier sur le site de l’ADEME. Certaines entreprises de taille plus petite, qui n’ont pas l’obligation de réaliser un bilan carbone, peuvent toutefois le faire bénévolement pour montrer leur engagement en faveur de la transition écologique. Comment faire un bilan carbone ? Pour réaliser un bilan carbone, les entreprises doivent mesurer leurs émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre et leur impact sur l’environnement. Pour cela, elles doivent évaluer leurs consommations d’énergie, leurs émissions de gaz à effet de serre, leurs activités de production et leurs déchets. Elles doivent également tenir compte des émissions indirectes, telles que celles liées aux transports des produits et des matières premières. Une fois le bilan carbone réalisé, les entreprises peuvent élaborer des plans pour réduire leurs émissions et compenser celles qu’elles ne peuvent pas réduire. Conclusion Le bilan carbone est un outil important pour les entreprises qui souhaitent mesurer leurs émissions de gaz à effet de serre et réduire leur empreinte carbone. En France, les entreprises de plus de 500 salariés et qui réalisent plus de 50 millions d’euros de chiffre d’affaires sont tenues de réaliser un bilan carbone. Les entreprises plus petites peuvent également réaliser un bilan carbone bénévolement pour montrer leur engagement en faveur de la transition écologique. Pour réaliser un bilan

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Les pouvoirs publics continuent à subventionner les travaux de rénovation qui visent à améliorer significativement la performance thermique des habitats et des entreprises. La pose de nouvelles fenêtres est une des opérations éligibles à ces coups de pouce. L’Etat souhaite accélérer en 2023 la transition énergétique du parc immobilier français : des mesures de restriction vont d’abord toucher les passoires thermiques, dont les plus mal classées sont interdites de location dès cette année (plus précisément, le propriétaire concerné n’aura pas le droit de faire signer un nouveau bail). Pour le reste, des aides publiques restent en vigueur pour inciter les particuliers à engager des travaux de rénovation, à condition que ceux-ci aient un impact positif sur leur niveau de dépenses de gaz et d’électricité (c’est bien sûr la consommation de chauffage que les pouvoirs publics souhaitent réduire). Une fenêtre en aluminium avec double vitrage Le changement d’une fenêtre en bois usé par une fenêtre aluminium, plus isolante, figurent parmi les opérations potentiellement éligibles : elles le sont automatiquement si leur acquéreur opte pour un modèle un double vitrage pour remplacer son ancien équipement doté d’une seule lame de verre. La performance énergétique entre ces deux produits n’est pas la même. La preuve par les chiffres : un simple vitrage possède un coefficient de transmission thermique * deux fois moins bon que celui d’une fenêtre conçue de deux lames de verres séparées par une lame d’air (6 W/K.m² pour le premier, 2,8 W/K.m² pour la seconde). L’enjeu d’une isolation renforcée par la pose de fenêtres neuves n’est pas mince : le déperditions sont très importantes dans les habitats mal équipés puisque 10 à 15% de la chaleur produite depuis l’intérieur se dissipent en s’exfiltrant par ces ouvertures. A l’inverse, des fenêtres performantes en aluminium ou en PVC génèrent potentiellement jusqu’à 250 euros d’économies d’énergie. D’où l’intérêt que ce type de chantiers suscite auprès des pouvoirs publics qui, pour les encourager, cherchent à compenser leurs coûts par des aides publiques. Une aide : MaPrimeRénov’ MaPrimeRénov’ reste, à ce jour, le dispositif phare, peut-être le plus simple et le lisible dans ses modalités : en vigueur depuis 2020, date à laquelle il avait remplacé le crédit d’impôt de Transition Energétique (CITE), il est distribué sous la forme d’une enveloppe octroyée après la livraison du chantier (une fois les factures présentées au client). Le montant de la prime varie selon le niveau de ressources du demandeur : les ménages qui perçoivent les revenus les plus bas (catégorie bleue) ont droit à 100 euros par fenêtre à double vitrage. 80 euros sont versés ménages dits « modestes (catégorie « jaune »), et 40 euros pour les revenus « intermédiaires » (violet). Les moindres déperditions de chauffage, et les gains qui en découlent en termes de consommation de gaz ou d’électricité (250 euros en moins à régler en moyenne sur la facture), ont conduit les pouvoirs publics à débloquer des aides pour subventionner ce type de chantier, et inciter les particuliers à investir. Il est vrai

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Certains bailleurs, propriétaires de passoires thermiques, n’auront d’autres choix que d’améliorer l’isolation de leur logement s’ils veulent conserver, l’an prochain, le droit de le louer à des tiers. C’est un bouleversement qui se prépare sur le marché de la location de logements, déjà très tendu dans les grandes villes. A partir de 2023, de nombreux bailleurs vont devoir s’adapter à des contraintes réglementaires assez drastiques introduites par la Loi Climat et Résilience, promulguée le 22 août 2021. Le texte fixe en effet un calendrier visant à permettre à l’ensemble du parc immobilier d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. D’ici-là, l’Etat compte s’attaquer aux 5,2 millions de « passoires thermiques », ces biens identifiés comme les plus énergivores du secteur. Améliorer son isolation pour moins dépenser d’énergie Un cadre juridique très incitatif va être mis en place afin d’amener les bailleurs concernés à engager d’importants travaux de rénovation destinés à réduire drastiquement leur facture de gaz et d’électricité, sous peine de se voir interdire purement et simplement leur droit à la location : le devis d’un miroitier ou d’un chauffagiste leur permettra d’établir rapidement un budget pour remplacer leurs vieilles fenêtres ou leur chaudière au fioul au profit d’équipements plus performants et moins polluants. Une première étape de ce programme ambitieux a été amorcée le 25 août 2022 : depuis cette date, les bailleurs de logements dont le DPE (Diagnostic de Performance Energétique) établit qu’ils consomment plus de 330 kilowattheures (ils sont classés F ou G) ou comptabilisent un volume annuel d’émission de CO2 supérieur à 70 kilos par an, sont astreint à une sorte de gel de loyer qui leur interdit d’en augmenter le montant entre le départ et l’arrivée d’un nouveau locataire, ou lors d’un renouvellement de bail. Quels logements menacés d’être exclus du marché de la location ? Ce n’est pourtant qu’un apéritif : dès l’an prochain, l’Etat ne se contentera plus, en guise de rétorsion, de neutraliser les loyers. Il compte tout simplement retirer du marché de la location les biens qui ne se seront pas conformés aux normes thermiques officielles : seront d’abord concernés par cette mesure les logements qui accusent les déperditions d’énergie les plus fortes, jusqu’à afficher des niveaux de consommation globaux de plus de 450 kWh par m² et par an. Pour cette catégorie d’habitat, la conclusion ou le renouvellement de baux en cours d’exécution seront prohibés. La même sanction frappera à partir de 2025 les logements classés G, puis les résidences principales notées G à compter de 2028. Les logements de classe E suivront bien plus tard, en 2034 (sous réserve évidemment de modifications). Ajoutons que dès le 1er avril prochain, les propriétaires de logements les moins performants devront obligatoirement, dans la perspective d’une vente éventuelle, en faire évaluer les installations à travers un audit énergétique réglementaire.

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N’importe quel trader, quel que soit son statut, est toujours le bienvenu sur la plateforme ironfx. Elle permet à tous les traders de profiter des mêmes outils de travail. Cette plateforme permet aux traders d’utiliser une technologie simple et efficace, ne demandant aucune connaissance quelconque en programmation. Ironfx : une application en trading efficace Ironfx offre une base solide et une programmation solide à un trader novice dans le milieu. Ce logiciel est absolument ce qu’il faut pour un débutant, car il permettra d’automatiser le système de trading sans encombre. C’est un logiciel pour un trader professionnel ou un novice. Il offre un espace de travail à temps plein et aide ce spécialiste en trading dans ces mouvements et transactions financières. Le trader peut acheter les actions sur la plateforme sans problème et peut vendre ses avoirs de manière très professionnelle. Pour les traders encore novices, ironfx est la meilleure plateforme pour apprendre le trading. Un soutien technique comme un tutoriel sera proposé par la plateforme pour le trader qui débute dans le domaine. Ironfx avis accompagne et guide le nouveau trader dans les démarches compliquées. Ironfx est vraiment une application en trading efficace. L’utilité d’Ironfx comme logiciel de trading Il existe des logiciels gratuits en essai et payants appelé ironfx, qui offrent des outils bien plus pointus. Après une formation et un accompagnement de quelques jours, le trader saura comment faire lorsqu’il trade dans la plateforme. Lors de gros mouvements, le trader pourra faire une analyse complète et rapide grâce à ironfx. Les traders utilisent les graphiques du logiciel, toujours avec les mêmes indicateurs. Utiliser ironfx est un avantage pour tous les traders chevronnés, grâce à son système actif et performant. Le trader n’aura aucun problème lors des échanges boursiers. On peut découvrir comment acheter les bonnes actions au bon moment et surtout comment savoir quand les vendre avant qu’elles ne baissent, grâce à la performance de ce logiciel. Enfin, il est possible de profiter d’une méthode clé en main en trading, en réduisant les risques et donc en permettant de dormir sur ses deux oreilles. Ironfx : une programmation facile à accéder et à utiliser Le trader dispose de plusieurs indicateurs techniques qui sont énumérés dans le système grâce à ironfx. Il peut même l’utiliser pour créer un échange spontané. Ironfx est une programmation facile à utiliser et accessible à tous. La plateforme possède un système exploitable et personnalisable à souhait. Le trader pourra programmer son emploi de temps et faire en sorte que ses activités soient mises en œuvre automatiquement sans l’intervention manuelle du trader. Par ailleurs, on peut tout à fait utiliser une méthode et une stratégie à moindre risque grâce à ironfx. Il suffit d’avoir un compte pour disposer de ce service réservé à la clientèle. On peut également débuter, progresser au fur et à mesure et augmenter ses taux de réussite en devenant un investisseur trading qui gagne régulièrement en bourse tout en maîtrisant le milieu durablement.

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