L’Afep s’oppose au principe de transparence des entreprises en matière d’écologie. Le quotidien La Tribune révèle aujourd’hui que l’Association française des entreprises privées, l’Afep, a adressé un courrier au ministère du développement durable pour exprimer son opposition au projet d’étendre à toutes les entreprises de 500 salariés et plus, l’obligation de publier chaque année un rapport détaillant leurs efforts en matière de développement durable. Aujourd’hui seules 700 grandes entreprises cotées y sont contraintes.  

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Le changement climatique est un phénomène mondial, et les émissions de gaz à effet de serre en sont la principale cause. Mais quels sont les principaux secteurs à l’origine des émissions de gaz à effet de serre ? Quelle est l’empreinte carbone de chaque secteur ? Et quelles sont les solutions pour réduire les émissions ? Dans cet article, nous allons vous donner les réponses à ces questions. Les principaux émetteurs de gaz à effet de serre Selon les données de l’Union européenne, les principaux secteurs émetteurs de gaz à effet de serre sont l’industrie manufacturière, le transport routier, l’industrie et l’énergie. Ces secteurs sont responsables de près de 80 % des émissions totales de gaz à effet de serre en Europe. En France, ces secteurs représentent plus de 90 % des émissions totales de gaz à effet de serre. Quelle est l’empreinte carbone des secteurs ? Selon le rapport sectoriel publié par le ministère de l’Écologie, de l’Énergie et de la Mer en 2014, l’industrie manufacturière est le plus grand émetteur de gaz à effet de serre en France, avec plus de 200 millions de tonnes de CO2 émis chaque année. Le secteur du transport routier arrive en deuxième position avec environ 140 millions de tonnes de CO2 émis chaque année, suivi par l’industrie et l’énergie avec respectivement 100 et 50 millions de tonnes de CO2 émis chaque année. Comment réduire les émissions de gaz à effet de serre ? Il existe plusieurs solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre des secteurs clés. Au niveau des entreprises, il est possible de mettre en place des programmes de réduction des émissions, en réduisant l’utilisation d’énergies fossiles et en optant pour des sources d’énergie renouvelables. Au niveau des pouvoirs publics, des mesures incitatives peuvent être mises en place pour encourager les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, comme des subventions pour l’utilisation de sources d’énergie renouvelables, des taxes sur les carburants fossiles ou des quotas de réduction des émissions. Conclusion Les principaux secteurs émetteurs de gaz à effet de serre en France sont l’industrie manufacturière, le transport routier, l’industrie et l’énergie. Ces secteurs représentent plus de 90 % des émissions totales de gaz à effet de serre en France, avec plus de 200 millions de tonnes de CO2 émis chaque année. Pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, les entreprises et les pouvoirs publics peuvent mettre en place des programmes de réduction des émissions, en réduisant l’utilisation d’énergies fossiles et en optant pour des sources d’énergie renouvelables. Les pouvoirs publics peuvent également mettre en place des mesures incitatives pour encourager les entreprises à réduire leurs émissions.

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Dès octobre 2019, le fast food fera disparaître de ses emballages les pailles et les couvercles distribués dans ses 1 500 restaurants français. Plastique et burger ne feront bientôt plus bon ménage chez McDonald’s : la filiale tricolore du géant américain assure vouloir supprimer, d’ici la fin de cette année, la plupart des pailles et couvercles de gobelets fabriqués dans cette matière. La mesure, révélée par la PDG du groupe Nawfal Trabelsi dans les colonnes du Parisien, fait suite à une annonce de même nature formulée le jour même par DisneyLand Paris. Les deux entreprises justifient cette nouvelle politique par leur intention commune d’anticiper la future réglementation européenne qui fixe à 2021 l’interdiction « des produits en plastique à usage unique » sur l’ensemble du marché de l’UE. Elles rejoignent également les objectifs fixés par la loi nationale de transition énergétique qui vise à porter à 65 % les tonnages orientés vers le recyclage ou la valorisation organique d’ici à 2025. Enfin elles interviennent réactivement dans un contexte qui s’est tendu en début d’année entre le secteur de la restauration rapide et la Secrétaire d’Etat à l’Ecologie Brune Poirson, laquelle avait convoqué les principales enseignes, en janvier dernier, pour leur signifier un « rappel à la loi » en matière de tri des déchets. 8 millions de pailles par jour Cette réunion en haut lieu avait été décidée sur la base d’un constat général dressé par l’administration après des contrôles effectués dans une cinquantaine d’établissements, enquête dont il était ressorti que les chaînes intéressées ne respectaient pas les règles définies par un décret issue de la loi Grenelle 2 (2010) : rappelons que le texte portait de 10 à 20 tonnes de déchets biodégradables (soit environ 250 repas servis par jour) le seuil à partir duquel un restaurateur doit obligatoirement procéder à leur tri sélectif et leur recyclage. Récemment, l’association Bas les Pailles avait révélé  que 8.8 millions de pailles en plastique étaient utilisées chaque jour dans l’industrie française du fast-food. Pour les remplacer, plusieurs alternatives sont envisagées : « plusieurs prototypes ont été travaillées » a précisé Nawfal Trabelsi qui a évoqué « un couvercle en fibres moulées, muni d’un petit bec pour boire ». *Etaient notamment représentés Mac Donald’s, Starbucks, KFC-Pizza Hut, Burger King, Subway, Exki et Class’croute

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Avec la dégradation de l’environnement, de plus en plus de personnes s’engagent dans des projets de développement durable. Pour ce faire, les entreprises choisissent d’utiliser des produits promotionnels écologiques dans leurs campagnes de communication. Pour la préservation de l’environnement Le désir de nombreux consommateurs est de collaborer avec des firmes disposant d’une position importante et propice à l’environnement. La gamme de clé USB personnalisée écologique vous conviendra sûrement si votre entreprise envisage de transmettre un message écologique et de se servir de matériaux durables. Les deux matières utilisées lors de fabrication de nos clés USB comprennent le bambou et le bois pour garantir l’aspect écologique de ces dernières. Les modèles en bambou restent les meilleurs sur le marché. C’est un avantage très recherché en matière de stratégie marketing. Les avantages s’offrant à vous Les clés USB publicitaires en bois présentent d’incroyables atouts. L’ajout de votre message ou de votre logo se fait avec sobriété sur la surface de l’objet. Cette technique d’impression permet de communiquer autour de l’environnement. Vous pourrez mettre les clés USB dans des emballages entièrement recyclables si vous souhaitez réellement diffuser un message pour préserver l’environnement. Pour faire plaisir à vos collaborateurs ou clients potentiels via vos produits respectant l’écosystème, servez-vous de l’USB Square, de l’USB Twister ou de l’USB bois. Vous pouvez la distribuer lors de vos évènements marquants tels que des salons ou des expositions. Pour une amélioration considérable de votre éco-état, il faut faire un pré-chargement de votre catalogue, de votre brochure de vente… Et ce, pour dépenser moins d’argent en termes de prix et de matériaux employés lors de l’impression de votre clé publicitaire en bois. Un outil pour une meilleure communication par l’objet Divers produits promotionnels favorisent l’amélioration de l’image de marque de la plupart des entreprises. La distribution d’une clé USB publicitaire en tant que cadeaux d’entreprise simplifie la réalisation de cet objectif. Vous avez la possibilité d’offrir ce type de produit à vos employés ou à vos collaborateurs pour les motiver dans leur travail. Les destinataires de vos objets promotionnels ne pourront qu’avoir le sourire aux lèvres au moment où ils recevront vos présents. La meilleure façon d’encourager les partenaires de travail ou les salariés reste effectivement le fait de leur donner des signes de reconnaissance. Il suffit juste de choisir le bon moment et le bon endroit pour les distribuer. Pour rendre votre enseigne plus visible L’utilisation de produits personnalisables constitue l’un des moyens de rendre plus visible n’importe quelle marque. Si une personne part, par exemple, en voyage d’affaires et qu’il amène sa clé USB avec logo, il réalisera une publicité de votre marque. Il est probable que cette personnes sorte sa clé USB pour terminer son travail ou bien pour transférer des données professionnelles lors de ses déplacements. Les autres gens qui sont avec lui pourront voir le logo de votre entreprise et le graver dans leur mémoire.

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L’écologie prend une place de plus en plus importante dans le quotidien des Français. Faire attention à sa consommation et à ses déchets pour réduire son empreinte écologique et aujourd’hui un défi primordial pour chacun des Français. Les entreprises ne sont pas écartées de ce processus. L’écologie doit concerner l’ensemble des acteurs de la société pour obtenir des résultats satisfaisants. L’objectif est alors de mettre en place des solutions efficaces et concrètes afin de réduire au quotidien son impact écologique. Ecojoko est un acteur privilégié pour proposer des solutions innovantes aux entreprises comme aux particuliers. Qu’est-ce que l’empreinte écologique ? L’empreinte écologique est la mesure permettant de connaître l’impact d’une activité sur l’environnement. Elle permet d’illustrer de manière simple et efficace cet impact. Par exemple, l’empreinte carbone concerne l’émission de gaz à effet de serre par citoyen. Le but est d’utiliser une image concrète est connue de tous pour percevoir notre consommation et les conséquences de celle-ci sur la planète. Aujourd’hui, nous vivons à crédit sur une planète épuisée. Elle vide ses réserves pour nous permettre de consommer toujours plus. Changer sa consommation n’est plus une option, mais une véritable question de survie. Les solutions efficaces à mettre en place Optimiser sa consommation d’énergie Le gouvernement agit aujourd’hui afin de convaincre les entreprises de mettre en place des mesures favorisant une diminution de leur empreinte écologique. Une certification ISO 14001 pour les entreprises a été créée afin de garantir un véritable système de management environnemental. Pour l’obtenir, il est nécessaire d’organiser de manière constructive le fonctionnement de sa société. Détenir cette certification attire les investisseurs soucieux de travailler avec des entreprises « vertes ». Pour optimiser sa consommation d’énergie, il faut, par exemple : Choisir consciencieusement ses appareils électroménagers comme le frigo ou le micro-onde de l’espace cuisine de l’entreprise ; Inciter le personnel à éteindre les ordinateurs et les lumières lorsqu’ils quittent un bureau ou une pièce ; Mettre en place un système de chauffage facilement contrôlable pour éviter le gaspillage de celui-ci lorsqu’une pièce n’est pas utilisée ; Installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de l’entreprise ; L’idée est de passer progressivement vers une gestion optimale des énergies de la société pour parvenir à une réduction progressive de l’empreinte écologique. Ces petits gestes quotidiens sont impératifs. Pour aller plus loin, il est possible de proposer une prime aux salariés qui se déplacent en vélo ou en transport en commun. Il est aussi possible de proposer à ses collaborateurs des voitures de fonction hybrides. Vous pouvez en savoir plus via le site gataka.fr. Ces moyens incitatifs favorisent la réduction de l’impact environnemental des entreprises. Une réduction imposée par le gouvernement La loi française œuvre pour réduire de manière rapide son impact environnemental. Pour cela, elle met en place des obligations strictes envers les entreprises. Ces mesures restrictives visent à réduire l’empreinte écologique des sociétés. Ainsi, le législateur impose une réglementation particulière dans plusieurs domaines : Déchets ; Eau ; Air et énergie ; Santé et sécurité ; Les

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Le 20 septembre dernier, 310 projets ont été retenus par le ministère de la transition écologique dans le but de développer des installations photovoltaïques sur les bâtiments, pour un volume total de 150 mégawatts (MW). Un appel d’offres photovoltaïques de 1 450 MW sur 3 ans En septembre 2016, Ségolène Royal – alors ministre de l’écologie – annonçait le lancement d’un appel d’offres pour le développement de 1 450 MW d’installations solaires sur les bâtiments. La demande porte sur la réalisation et l’exploitation d’installations de production d’électricité à partir de l’énergie solaire sur bâtiments, hangars agricoles, serres et ombrières de parking situés en France métropolitaine. Cet appel d’offres comporte au total neuf périodes de candidature réparties sur 3 ans. A l’issue de la première période (27 avril 2017), 361 projets ont été sélectionnés pour un volume de 150 MW. Cette seconde période compte 130 lauréats pour un total de 310 nouveaux projets représentant une capacité totale de 152 MW. Une baisse significative des prix de l’énergie solaire Les 310 projets lauréats retenus ici valoriseront l’électricité produite à un prix historiquement bas pour la filière solaire sur bâtiment, avec un prix moyen de 93,4 euros par mégawattheure (MWh) produit, soit une baisse de 10% par rapport à la première période de l’appel d’offres. Par ailleurs, 40% des lauréats se sont engagés à l’investissement participatif et bénéficieront d’une majoration de leur prime de 3 euros par mégawattheure. Un engagement qui traduit la volonté croissante des élus et des citoyens de s’impliquer davantage dans la production d’énergie locale. Les Français séduits par l’énergie solaire Globalement, cette baisse notable des coûts de l’électricité produite à partir de petites installations solaires démontre, pour le ministre Nicolas Hulot, que « les modèles déconcentrés et répartis au plus près des consommateurs ont un avenir réel ». Un phénomène que les collectivités ont bien compris : « [elles] sont de plus en plus nombreuses à lancer des appels d’offres pour le développement de la production solaire au niveau local » affirme Antoine MARTIN, du portail d’appels d’offre France Marchés. Et de plus en plus d’entreprises répondent à l’appel. Preuve en est que la transition écologique, dans ses dimensions environnementale et économique, est promue à un bel avenir ! Pour en savoir plus : – Appels d’offres et informations relatives à l’énergie solaire, par le Ministère de la Transition écologique et solidaire

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