De nombreux grands groupes français sont désormais concernés par le concept de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Ainsi, ils doivent revoir leurs projets de développement économique et leur stratégie de management de manière à respecter les enjeux du développement durable. Comprendre la responsabilité sociétale des entreprises Le principe de la RSE comporte 3 dimensions : sociétale, sociale et environnementale. La responsabilité sociétale concerne les partenariats des entreprises et leur politique de relation client. Dans cette logique, les entreprises ont l’obligation de mettre en place des partenariats qui respectent les enjeux éthiques et environnementaux de leur secteur d’activité. En matière de politique sociale, les entreprises ont la possibilité de s’impliquer dans de nombreux projets d’amélioration des conditions de travail de leurs collaborateurs ainsi que de protection contre la discrimination. De plus, elles peuvent adopter une stratégie de gestion des ressources humaines qui favorise la formation continue et l’acquisition de nouvelles compétences. Selon le principe de la RSE, les grands groupes français ont également l’obligation de tenir compte de l’empreinte environnementale dans leurs projets de développement économique. Ainsi, ils peuvent s’engager en faveur de divers projets ayant pour objectif la protection de l’environnement et de la biodiversité. Que dit la réglementation au sujet de la RSE ? Les projets de développement des entreprises françaises doivent actuellement respecter plusieurs réglementations, dont la loi sur les Nouvelles Régulations Economiques, les lois Grenelle et la loi Warsmann 4. Ces réglementations les obligent à définir leurs propres indicateurs RSE, qui leur permettront de mesurer leur engagement en faveur du développement durable. Cette obligation concerne actuellement les grands groupes, mais le périmètre d’application est susceptible de s’étendre aux PME et TPE les années à venir. Pour leurs projets de RSE, les entreprises ont la liberté de choisir elles-mêmes les indicateurs de performance en fonction des particularités de leurs secteurs et des tendances du marché. Cependant, ces indicateurs doivent obligatoirement être présentés dans leurs rapports annuels. Strego est désormais accrédité pour vérifier les performances RSE des entreprises Depuis janvier dernier, la société Strego, spécialisée dans l’accompagnement des dirigeants dans leurs projets de développement économique, dispose d’une accréditation d’Organisme Tiers Payant (OTI). Cette accréditation lui permet de vérifier les données RSE de ses clients et de garantir leur publication dans les rapports annuels.

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Utilisé de tout temps dans la construction, le bois regagne ses lettres de noblesse dans le secteur du bâtiment depuis plusieurs années. Écologique et durable, ce matériau répond en effet efficacement aux enjeux environnementaux actuels. Pourquoi utiliser le bois dans la construction ? Les atouts du matériau bois Construire, agrandir, rénover, pour vivre, accueillir ou travailler… Le bois se prête à tous les projets grâce à ses multiples atouts écologiques, économiques et techniques : Matériau renouvelable, le bois est issu d’une ressource naturelle, qui plus est gérée de façon durable ; Véritable puits de carbone, ce matériau absorbe et stocke le carbone de l’atmosphère ; L’impact d’une construction bois reste limité sur l’environnement, en termes de déchets et de consommation d’eau notamment ; La construction ou la rénovation bois implique un chantier propre et rapide ; Entre délais d’intervention maîtrisés et main d’œuvre limitée, les avantages relèvent aussi de l’ordre économique ; La légèreté et la souplesse du matériau permettent de le mettre en œuvre facilement quelles que soient les exigences architecturales et les contraintes de sol, de dénivelé et de hauteur ; Les systèmes constructifs bois offrent naturellement de très bonnes performances en matière d’isolation thermique et acoustique et d’étanchéité à l’air ; La durabilité des constructions bois est estimée à minimum 100 ans, le bois étant connu comme étant un matériau solide, résistant et pérenne ; Le bois reste bien sûr apprécié pour son esthétique, avec son aspect noble et chaleureux indéniable. Un enjeu écologique majeur La dimension écologique, de plus en plus prégnante dans les problématiques sociétales, s’impose logiquement dans le secteur de la construction. Et pour cause : en France, le secteur du bâtiment représente près de 45 % de la consommation d’énergie nationale et près de 25 % des émissions de CO2. Aujourd’hui, en vertu de la règlementation environnementale RE 2020, les nouvelles constructions doivent être économes en énergie et tendre vers le zéro carbone. Elle favorise ainsi le recours aux matériaux renouvelables, présentant une faible empreinte carbone. Les systèmes constructifs bois offrent justement une réponse adaptée à ces enjeux. Quels bâtiments peut-on construire en bois ? Les chiffres du bois L’enquête nationale de la construction bois 2021, réalisée conjointement par le CODIFAB (Comité professionnel de Développement des Industries Françaises de l’Ameublement et du Bois) et France Bois Forêt, révèle déjà des chiffres encourageants pour 2020 : La part de la construction bois s’élève à 6,5% dans le marché du logement (maisons individuelles et logements collectifs) ; Les extensions et surélévations bois représentent 30,5 % des parts de marché ; La part de marché des bâtiments non résidentiels bois (tertiaires, agricoles, industriels et artisanaux) atteint 16,8 %. Le bois ne se limite plus au domaine de l’habitat : il investit désormais tous types de bâtiments. Un matériau tout terrain Compte tenu des progrès réalisés par les acteurs de la filière bois et de la construction, tous types de bâtiments peuvent désormais être réalisés avec du bois : maisons individuelles, immeubles logements ou bureaux, bâtiments publics (hôpitaux, structures d’accueil collectif, écoles, bibliothèques, salles de spectacle, gymnases…), hôtels, commerces, etc. Le bois

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Il n’est plus à prouver que protéger l’environnement et créer de la croissance économique peuvent aller de pair. Politiques publiques et initiatives privées abondent dans ce sens. Mais concrètement, quelle réflexion avoir avant de s’engager dans des mesures environnementales en entreprise ? Réduire la consommation d’énergie en entreprise est un moyen de maîtriser ses coûts, ou ses charges, tout en réduisant son empreinte écologique. Avant de se lancer dans une démarche environnementale, il convient cependant d’étudier les étapes à suivre et de connaître les acteurs susceptibles d’apporter leur contribution sur ce genre de projet : 1- Diagnostic de la situation Les Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI) de France proposent de réaliser un état des lieux des pratiques en entreprise via un pré-diagnostic dans l’un des quatre domaines suivants : l’environnement, l’énergie, l’éco-conception des produits et la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Le pré-diagnostic environnement comprend ce qui suit : visiter des installations, relever les améliorations à faire en même temps que les points forts, préconiser des changements du point de vue environnemental, construire un plan d’actions, apporter une assistance technique et remettre un rapport. 2- Etudes environnementales Pour sa part, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) propose, sous conditions, de financer des études générales en environnement. A noter que l’aide apportée par l’ADEME est plafonnée à un maximum de 70% du coût (Hors Taxes) de l’étude. Cet apport de l’ADEME couvre des études d’observation, des évaluations de performances de produits ou services ou de projets, des études pour élaborer de nouveaux outils ou méthodes, des études comparatives de pratiques, performances ou politiques. Une fois les besoins en matière de maîtrise d’énergie identifiés, il est possible de se pencher sur les sources de financement avant d’engager certains travaux de d’isolation, au niveau des fenêtres par exemple avec l’accompagnement et l’expertise de Minco. Quoiqu’il en soit, des économies d’énergie en entreprise peuvent être réalisées grâce à de petits gestes journaliers. Il s’agit par exemple de ne pas laisser les outils de travail (ordinateur, fax, imprimante…) en veille, de faire des économies en matière d’éclairage (ampoules…), et de ne pas oublier tout simplement d’éteindre les appareils électriques et d’optimiser leur utilisation. Z.T

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A travers les réseaux sociaux et les forums de discussions, le web 2.0 donne de plus en plus de voix aux consommateurs. Les décisions d’achat des consommateurs sont prises en tenant compte de la qualité des produits qu’ils utilisent, mais aussi de la stratégie environnementale des entreprises. C’est pourquoi il est important que les sociétés soignent leur image écoresponsable.

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Alten, important créateur d’emplois et soucieux de maintenir une dynamique humaine positive, affirme son engagement en matière de développement durable en adhérant au Pacte Mondial des Nations Unies. Ce leader européen de l’Ingénierie et du Conseil en Technologies démontre ainsi sa volonté de mener des actions de responsabilité sociétale pour renforcer son « empreinte humaine et écologique ».Par cette adhésion, ALTEN confirme son engagement social, environnemental et sociétal, pour une gouvernance RSE globale et stratégique : « La démarche Développement Durable est aujourd’hui une préoccupation centrale et stratégique du groupe ALTEN, une affirmation de son rôle responsable dans l’Ingénierie. » (Simon Azoulay, Président-directeur général d’ALTEN).

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Innovant chaque jour pour répondre le mieux possible vos exigences, le spécialiste de la communication par l’objet s’adapte en permanence à vos problématiques. Il s’adapte également aux évolutions sociétales et aux grands enjeux du monde contemporain. Le développement durable est sa principale source de préoccupations.

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