Les pouvoirs publics continuent à subventionner les travaux de rénovation qui visent à améliorer significativement la performance thermique des habitats et des entreprises. La pose de nouvelles fenêtres est une des opérations éligibles à ces coups de pouce. L’Etat souhaite accélérer en 2023 la transition énergétique du parc immobilier français : des mesures de restriction vont d’abord toucher les passoires thermiques, dont les plus mal classées sont interdites de location dès cette année (plus précisément, le propriétaire concerné n’aura pas le droit de faire signer un nouveau bail). Pour le reste, des aides publiques restent en vigueur pour inciter les particuliers à engager des travaux de rénovation, à condition que ceux-ci aient un impact positif sur leur niveau de dépenses de gaz et d’électricité (c’est bien sûr la consommation de chauffage que les pouvoirs publics souhaitent réduire). Une fenêtre en aluminium avec double vitrage Le changement d’une fenêtre en bois usé par une fenêtre aluminium, plus isolante, figurent parmi les opérations potentiellement éligibles : elles le sont automatiquement si leur acquéreur opte pour un modèle un double vitrage pour remplacer son ancien équipement doté d’une seule lame de verre. La performance énergétique entre ces deux produits n’est pas la même. La preuve par les chiffres : un simple vitrage possède un coefficient de transmission thermique * deux fois moins bon que celui d’une fenêtre conçue de deux lames de verres séparées par une lame d’air (6 W/K.m² pour le premier, 2,8 W/K.m² pour la seconde). L’enjeu d’une isolation renforcée par la pose de fenêtres neuves n’est pas mince : le déperditions sont très importantes dans les habitats mal équipés puisque 10 à 15% de la chaleur produite depuis l’intérieur se dissipent en s’exfiltrant par ces ouvertures. A l’inverse, des fenêtres performantes en aluminium ou en PVC génèrent potentiellement jusqu’à 250 euros d’économies d’énergie. D’où l’intérêt que ce type de chantiers suscite auprès des pouvoirs publics qui, pour les encourager, cherchent à compenser leurs coûts par des aides publiques. Une aide : MaPrimeRénov’ MaPrimeRénov’ reste, à ce jour, le dispositif phare, peut-être le plus simple et le lisible dans ses modalités : en vigueur depuis 2020, date à laquelle il avait remplacé le crédit d’impôt de Transition Energétique (CITE), il est distribué sous la forme d’une enveloppe octroyée après la livraison du chantier (une fois les factures présentées au client). Le montant de la prime varie selon le niveau de ressources du demandeur : les ménages qui perçoivent les revenus les plus bas (catégorie bleue) ont droit à 100 euros par fenêtre à double vitrage. 80 euros sont versés ménages dits « modestes (catégorie « jaune »), et 40 euros pour les revenus « intermédiaires » (violet). Les moindres déperditions de chauffage, et les gains qui en découlent en termes de consommation de gaz ou d’électricité (250 euros en moins à régler en moyenne sur la facture), ont conduit les pouvoirs publics à débloquer des aides pour subventionner ce type de chantier, et inciter les particuliers à investir. Il est vrai

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Certains bailleurs, propriétaires de passoires thermiques, n’auront d’autres choix que d’améliorer l’isolation de leur logement s’ils veulent conserver, l’an prochain, le droit de le louer à des tiers. C’est un bouleversement qui se prépare sur le marché de la location de logements, déjà très tendu dans les grandes villes. A partir de 2023, de nombreux bailleurs vont devoir s’adapter à des contraintes réglementaires assez drastiques introduites par la Loi Climat et Résilience, promulguée le 22 août 2021. Le texte fixe en effet un calendrier visant à permettre à l’ensemble du parc immobilier d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. D’ici-là, l’Etat compte s’attaquer aux 5,2 millions de « passoires thermiques », ces biens identifiés comme les plus énergivores du secteur. Améliorer son isolation pour moins dépenser d’énergie Un cadre juridique très incitatif va être mis en place afin d’amener les bailleurs concernés à engager d’importants travaux de rénovation destinés à réduire drastiquement leur facture de gaz et d’électricité, sous peine de se voir interdire purement et simplement leur droit à la location : le devis d’un miroitier ou d’un chauffagiste leur permettra d’établir rapidement un budget pour remplacer leurs vieilles fenêtres ou leur chaudière au fioul au profit d’équipements plus performants et moins polluants. Une première étape de ce programme ambitieux a été amorcée le 25 août 2022 : depuis cette date, les bailleurs de logements dont le DPE (Diagnostic de Performance Energétique) établit qu’ils consomment plus de 330 kilowattheures (ils sont classés F ou G) ou comptabilisent un volume annuel d’émission de CO2 supérieur à 70 kilos par an, sont astreint à une sorte de gel de loyer qui leur interdit d’en augmenter le montant entre le départ et l’arrivée d’un nouveau locataire, ou lors d’un renouvellement de bail. Quels logements menacés d’être exclus du marché de la location ? Ce n’est pourtant qu’un apéritif : dès l’an prochain, l’Etat ne se contentera plus, en guise de rétorsion, de neutraliser les loyers. Il compte tout simplement retirer du marché de la location les biens qui ne se seront pas conformés aux normes thermiques officielles : seront d’abord concernés par cette mesure les logements qui accusent les déperditions d’énergie les plus fortes, jusqu’à afficher des niveaux de consommation globaux de plus de 450 kWh par m² et par an. Pour cette catégorie d’habitat, la conclusion ou le renouvellement de baux en cours d’exécution seront prohibés. La même sanction frappera à partir de 2025 les logements classés G, puis les résidences principales notées G à compter de 2028. Les logements de classe E suivront bien plus tard, en 2034 (sous réserve évidemment de modifications). Ajoutons que dès le 1er avril prochain, les propriétaires de logements les moins performants devront obligatoirement, dans la perspective d’une vente éventuelle, en faire évaluer les installations à travers un audit énergétique réglementaire.

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  Non seulement la qualité de l’isolation d’une maison influe sur le confort de vie, mais elle impacte aussi à la baisse le budget d’un ménage. Une maison mal servie sur le plan thermique nécessitera mécaniquement plus de chauffage l’hiver, une dépense d’énergie qui peut se prolonger jusqu’au printemps lorsque la saison s’avère plus fraîche que prévue, comme c’est le cas cette année. Quelles solutions adopter pour éviter que les factures ne flambent ? L’isolation d’une maison dépend de la qualité des éléments qui séparent l’intérieur de l’extérieur : les murs, la toiture ou la porte d’entrée. Nous traiterons ici plus spécifiquement des fenêtres et des matériaux employés dans leur armature. Quel matériau pour vos ouvertures ? Il en existe de plusieurs sortes : le bois affiche de très bonnes performances et ajoute une note d’esthétisme à l’ensemble. Les ouvertures en PVC sont moins coûteuses, et celles qui sont fabriquées en aluminium sont réputées pour leur résistance sur la durée. Il est également possible de faire d’une pierre deux coups et d’opter pour des menuiseries mixtes : selon l’avis de Minco, ces modèles sont plus faciles à entretenir et garantissent un niveau d’isolation supérieur. Fenêtre bois : Le bois est un matériau naturel qui nécessite un entretien adapté tous les deux ans. Fenêtre alu : très résistante, elle est fortement conseillée pour les grandes ouvertures. Fenêtre PVC : La plus répandue en raison de son prix plus compétitif. Fenêtre alu/bois : Le mélange de l’alu et le bois combine à la fois esthétisme, solidité, capacités thermiques et simplicité d’entretien. Quel vitrage  ? Trois types de vitrage sont proposés sur le marché : simple, double ou triple. Leur niveau d’épaisseur conditionne la qualité de l’isolation. Le simple vitrage : C’est le vitrage le moins isolant (transmission thermique Ug proche de 6W/K.m2). Cette carence le fait peu à peu disparaître des habitats, au profit du double ou du triple vitrage. Le double vitrage : Avec ses trois couches (deux lames de verre et une lame d’air), c’est un isolant très correct (transmission thermique Ug proche de 2,8W/K.m2). Le triple vitrage : Il est composé de 5 couches (trois lames de verre et deux lames d’air) qui permettent une excellente isolation des ouvertures. Petit bémol cependant : il grève parfois la luminosité des maisons. L’installation des fenêtres ne doit pas se faire à la légère : il est recommandé de faire appel à des professionnels du milieu afin d’investir dans les produits les plus adaptés à chaque configuration d’habitat. Rémy Godet.

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L’éco-prêt à taux zéro (PTZ) est un dispositif destiné à encourager la réalisation de nombreux travaux. Son objectif : accompagner les particuliers à rendre leur logement plus économe en termes d’énergie. Panneaux photovoltaïques, isolation des murs ou des fenêtres ou encore chaudières à condensation, l’éco-prêt à taux zéro représente un coup de pouce pour qui veut engager des travaux de rénovation. L’outil évolue à partir du 1er mars. Grande nouveauté pour cette année 2019, ce crédit gratuit bénéficie d’un assouplissement et devient plus accessible. Entré en vigueur en 2009, l’éco-PTZ, pour « prêt à taux zéro », va connaître une légère modification à partir du 1er mars 2019.  Des nouvelles règles qui resteront en vigueur jusque fin 2021 au minimum. De quelles façons vont se traduire ces changements  introduits par la Loi de Finances 2019 ? Il ne sera plus nécessaire de réaliser plusieurs travaux complémentaires pour pouvoir bénéficier de ce prêt bonifié  : désormais, isoler ses fenêtres auprès d’un fabricant tel que MINCO suffira en effet pour accéder au dispositif. Simplification en deux étapes L’éco-PTZ est destiné à tous les occupants souhaitant effectuer des travaux de rénovation énergétique dans leur logement, qu’ils soient bailleurs ou locataires, et sans aucune restriction en matière de niveaux de revenus. Les seules conditions marquantes pour en bénéficier sont le fait de devoir occuper un logement ayant été construit avant le 1er janvier 1990, que celui-ci soit une maison ou un appartement. Élément supplémentaire, ce même logement doit nécessairement faire office de résidence principale pour pouvoir bénéficier de cette aide financière. Cette première simplification se prolongera bien au-delà du  1er mars 2019 :  dès le 1er juillet suivant, la nouvelle version de l’éco-PTZ sera élargie  à l’ensemble des logements achevés depuis plus de deux ans et s’appliquera à tous les travaux d’isolation portant sur les planchers bas. Pour information, il y aura également une uniformisation de la durée d’emprunt à 15 ans pour tous les prêts en lien avec l’éco-PTZ. Charline Leroy.

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Six mois après en avoir été retirées, ces dépenses entrent à nouveau dans le périmètre du Crédit d’Impôt pour la Transition Energétique. Explications. Certaines des mesures annoncées fin 2018 pour accroître le pouvoir d’achat des ménages français s’inscrivent dans la stratégie écologique engagée par le gouvernement : en 2019, l’installation de nouvelles fenêtres bénéficiera d’un coup de pouce fiscal via le CITE (Crédit d’Impôt pour la Transition Energétique), six mois après avoir été retirée du dispositif, au grand dam de la profession. Concrètement, la dépense éligible à cette aide portera sur le remplacement des parois vitrées à simple vitrage. A la clé, un taux de 15% à déduire de l’IR*, dans la limite de 100€ par fenêtre (soit le coût de l’équipement). TVA réduite de 5,5% sur l’opération Deux conditions restent intangibles pour pouvoir prétendre au CITE : la maison ou l’appartement doivent avoir été construits depuis plus de deux ans, et la pose du nouvel équipement est à faire réaliser par un professionnel ou un artisan-menuiser qualifié RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), certification qui garantit son travail sur plusieurs années et donne accès à un service après-vente. Autre gain pour le particulier : l’Etat applique un taux de TVA réduit (5,5%) sur ce type de chantier, matériels et accessoire compris. En vigueur depuis 2005, le crédit d’impôt a été progressivement modifié par les lois des finances successives. Il porte son nom actuel depuis le 1er septembre 2014. Son objectif : encourager dans les logements (résidence principale) la mise en œuvre de travaux destinés à y améliorer l’efficacité énergétique. Le montant du CITE est plafonné à 8 000€ (16 000€ pour un couple, plus 400€ par personne à charge) sur une période de 5 ans. Economiser l’énergie domestique L’isolation des fenêtres est parfois négligée, alors que 10 à 15% de la chaleur des habitations s’échappent par ces ouvertures (estimation de l’Ademe, Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie). De plus, opter pour des fenêtres efficaces permet de diminuer l’ empreinte écologique du logement. En cas d’infiltrations d’eau, d’agressions sonores externes ou de déperditions de chaleur, le CITE s’impose comme un levier efficace pour qui souhaite remplacer ses fenêtres par des modèles Minco plus performants, aptes à garantir à la maison une isolation sonore et thermique de haute qualité. *IR : Impôt sur le Revenu Rémy Godet.

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Les entreprises cherchent à se développer en s’engageant dans des stratégies de croissance et de développement pour atteindre leurs objectifs commerciaux. Les stratégies de croissance et de développement peuvent être internes ou externes, et peuvent se présenter sous différentes formes, telles que la matrice d’Ansoff, l’offre de produits et de services, l’expansion sur de nouveaux marchés ou la création d’entreprises. Les stratégies de Croissance et de Développement Les stratégies de croissance et de développement sont des moyens pour les entreprises de se développer et de se renforcer. Ces stratégies visent à augmenter leurs parts de marché, à améliorer leurs produits et services et à atteindre leurs objectifs commerciaux. Les stratégies de croissance et de développement peuvent être internes ou externes. Les stratégies internes sont axées sur la recherche d’efficacité et de productivité, telles que la planification stratégique et l’amélioration des processus. Les stratégies externes sont axées sur la recherche de nouvelles opportunités, telles que l’expansion sur de nouveaux marchés, la diversification des produits et des services, la création d’entreprises ou la mise en œuvre de stratégies marketing. La matrice d’Ansoff La matrice d’Ansoff est un outil de planification stratégique qui permet aux entreprises d’identifier des stratégies de croissance et de développement. Ce modèle propose quatre stratégies principales : le développement des produits, le développement des marchés, l’intensification des activités et la diversification. Le développement des produits est une stratégie de croissance qui consiste à améliorer ou à modifier les produits existants afin de les rendre plus attractifs pour les clients. Le développement des marchés est une stratégie de croissance externe qui consiste à conquérir de nouveaux marchés ou à étendre sa présence sur les marchés existants. L’intensification des activités est une stratégie de croissance interne qui vise à améliorer l’efficacité et la productivité des processus et des activités existants. Quant à la diversification, elle est une stratégie de développement externe qui consiste à élargir l’offre de produits et de services pour s’adresser à de nouveaux marchés. Les avantages des stratégies de Croissance et de Développement Les stratégies de croissance et de développement offrent de nombreux avantages aux entreprises. Elles leur permettent d’augmenter leurs parts de marché, d’améliorer leurs produits et services et d’atteindre leurs objectifs commerciaux. Elles leur permettent également de se développer et de se renforcer, de se diversifier et de se maintenir à la pointe de l’innovation. Cependant, les stratégies de croissance et de développement sont limitées par le temps et les ressources dont dispose l’entreprise. Elles peuvent être très coûteuses et demander beaucoup de travail. Il est donc important pour les entreprises de planifier et de mettre en œuvre leurs stratégies de croissance et de développement de manière efficace et à long terme. Conclusion Les stratégies de croissance et de développement sont une partie essentielle de la planification stratégique des entreprises. Elles peuvent être internes ou externes, et peuvent se présenter sous différentes formes, telles que la matrice d’Ansoff, l’offre de produits et de services, l’expansion sur de nouveaux marchés ou la création d’entreprises. Les stratégies de

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Le carbone est un élément chimique essentiel à la vie sur Terre. C’est un élément présent dans l’atmosphère, dans l’eau et dans les sols. Il est également utilisé pour produire des alliages métalliques, des produits chimiques et des matériaux d’ingénierie. Il est également un élément stratégique pour la recherche scientifique et les nouvelles technologies. Le carbone est l’un des éléments les plus abondants dans l’univers. Il est le quatrième élément le plus abondant dans l’univers et le deuxième élément le plus abondant dans la Terre, après l’oxygène. Le carbone est présent dans l’atmosphère sous forme de dioxyde de carbone et de monoxyde de carbone. Il est également présent dans l’eau sous forme de bicarbonate de sodium, de carbonate de calcium et de bicarbonate de potassium. Le carbone est une partie essentielle du cycle du carbone, qui est le processus par lequel le carbone est échangé entre l’atmosphère, les océans et la surface terrestre. Ce cycle est essentiel à la vie sur Terre et à la santé de l’environnement. Le cycle du carbone est perturbé par l’activité humaine, ce qui a entraîné une augmentation des concentrations de dioxyde de carbone et de monoxyde de carbone dans l’atmosphère. Le carbone est l’un des éléments chimiques les plus importants. Il est l’un des six éléments qui forment la matière organique, ainsi que le fer, l’oxygène, l’azote, l’hydrogène et le soufre. Les molécules organiques sont des composés formés par des atomes de carbone liés à d’autres atomes. Les atomes de carbone sont liés entre eux par des liaisons covalentes, formant des structures appelées chaînes de carbone. Le carbone est présent sous différentes formes, dont le graphite, le diamant, le charbon, le papier carbone et les métaux. Ces formes de carbone ont des propriétés et des utilisations différentes. Le graphite est utilisé dans les crayons, les diamants sont utilisés en bijouterie, le charbon est utilisé pour produire de l’énergie, le papier carbone est utilisé pour la photocopie et les métaux sont utilisés pour la fabrication de nombreux produits. Dans le tableau périodique, le carbone est représenté par le symbole C. Il est un élément chimique métallique, avec un numéro atomique de 6 et une masse atomique de 12,0107 g/mol. Le carbone est également un élément stratégique pour la recherche scientifique et les nouvelles technologies. Les chercheurs peuvent modifier le code génétique des organismes vivants pour créer de nouvelles formes de vie et de nouvelles formes de matériaux. Le carbone est également utilisé pour la taxation. La taxe carbone est une taxe appliquée aux combustibles fossiles et aux autres produits qui sont la cause principale du réchauffement climatique. La taxe carbone est destinée à encourager les entreprises à réduire leur empreinte carbone en encourageant l’utilisation de technologies plus propres et plus durables. Le carbone est un élément essentiel à la vie et à l’environnement. Il est un élément abondant dans l’univers et présent sous différentes formes sur Terre. Il est un élément chimique métallique, qui est utilisé dans le cycle du carbone et qui est stratégique

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Le marché carbone est un moyen pour les entreprises et les pays de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et de compenser leurs émissions. Il est basé sur l’échange de quotas d’émissions de gaz à effet de serre entre les entreprises et les pays, et le prix du carbone est déterminé par le marché. Dans cet article, nous allons examiner comment les entreprises peuvent vendre leurs crédits carbone pour réduire leurs émissions et compenser leurs émissions. Qu’est-ce qu’un crédit carbone ? Un crédit carbone est une unité de mesure de l’impact environnemental des émissions de gaz à effet de serre d’une entreprise ou d’un pays. Chaque crédit est équivalent à une tonne de dioxyde de carbone (CO2), qui est l’un des principaux gaz à effet de serre responsables du changement climatique. Les entreprises peuvent acheter des crédits carbone pour compenser leurs émissions de gaz à effet de serre, ce qui leur permet de réduire leur empreinte carbone et leurs coûts d’émissions. Comment vendre ses crédits carbone ? Il existe plusieurs moyens pour les entreprises de vendre leurs crédits carbone. La première option est de participer à un marché carbone réglementé, tel que le système d’échange de quotas d’émissions de la Commission européenne (EU ETS). Les entreprises peuvent vendre leurs crédits carbone sur le marché ETS, ce qui leur permet de récupérer une partie des coûts engagés par leurs projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les entreprises peuvent également vendre leurs crédits carbone directement à d’autres entreprises, ce qui permet aux entreprises acheteuses de compenser leurs propres émissions. Les entreprises peuvent également vendre leurs crédits carbone à des organisations à but non lucratif qui les utilisent pour soutenir des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Quelle est la différence entre un crédit carbone et un label carbone ? Les crédits carbone et les labels carbone sont des outils similaires qui aident les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Cependant, il existe des différences importantes entre les deux. Les crédits carbone sont des unités de mesure qui peuvent être achetées et vendues sur le marché carbone, tandis que les labels carbone sont des étiquettes qui peuvent être appliquées aux produits pour indiquer leur niveau d’empreinte carbone. Les entreprises peuvent utiliser les deux outils pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, mais les labels carbone sont généralement utilisés pour promouvoir des produits à faible empreinte carbone. Conclusion Le marché carbone et les crédits carbone sont des outils essentiels pour aider les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et à compenser leurs émissions. Les entreprises peuvent vendre leurs crédits carbone sur des marchés réglementés, tels que le système d’échange de quotas d’émissions de la Commission européenne, ou directement à d’autres entreprises ou à des organisations à but non lucratif. Les crédits carbone peuvent être achetés et vendus sur le marché, tandis que les labels carbone peuvent être appliqués

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Le développement durable est l’un des principaux enjeux de notre temps. C’est une idée qui prend de plus en plus de place dans les stratégies des entreprises, des organisations et des États. Mais quels sont les outils qui peuvent vous aider à mettre en œuvre ce type de développement ? Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail les principaux outils du développement durable et comment ils peuvent vous aider à atteindre vos objectifs. Qu’est-ce que le développement durable ? Le développement durable est un concept qui vise à promouvoir le respect de l’environnement et à favoriser une croissance économique soutenable. Il repose sur trois piliers : l’environnement, l’économie et la société. Tous ces éléments sont interdépendants : si l’un d’entre eux est affecté, les autres sont également affectés. Le développement durable est donc une démarche globale qui consiste à prendre en compte les conséquences de nos actions sur l’environnement, l’économie et la société. Les outils du développement durable Pour mettre en œuvre une démarche de développement durable, une entreprise doit disposer de la bonne boîte à outils. Il est important de comprendre les différents outils disponibles pour vous aider à atteindre vos objectifs. Voici quelques outils du développement durable qui peuvent vous aider à y parvenir : Système de management environnemental : le système de management environnemental est un outil qui permet aux organisations de gérer et de surveiller leurs activités en matière de protection de l’environnement. Il est fondé sur la norme ISO 14001. Plan d’action pour le développement durable : un plan d’action pour le développement durable est un document qui décrit les actions que l’entreprise doit prendre pour atteindre ses objectifs de développement durable. Il peut inclure des mesures telles que l’amélioration de l’efficacité énergétique et la mise en œuvre de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Objectifs de développement durable : les objectifs de développement durable sont un ensemble de 17 objectifs qui ont été établis par les Nations Unies pour aider les pays à atteindre le développement durable. Ils couvrent des thèmes tels que l’éducation, la santé, l’alimentation, l’eau et l’assainissement, la protection de l’environnement et la lutte contre le changement climatique. Bilan carbone : un bilan carbone est un outil qui permet aux organisations de mesurer leurs émissions de gaz à effet de serre et de planifier des actions pour les réduire. Un bilan carbone peut inclure des mesures telles que l’amélioration de l’efficacité énergétique, l’utilisation d’énergies renouvelables et l’adoption de technologies plus propres. Démarche de RSE : la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) est un outil qui permet aux entreprises de mesurer et de gérer leurs impacts sociaux et environnementaux. Il s’agit d’un système de management qui intègre les dimensions sociale, environnementale et économique dans la stratégie et les pratiques de l’entreprise. Plan climat : un plan climat est un document qui décrit les mesures que l’entreprise prend pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre et s’adapter au changement climatique. Il peut inclure

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